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Merodas, artiste accompli [In Progress]
 :: Les Essentielles :: Personnages :: Fiches de personnages

Messages : 1
Date d'inscription : 05/09/2018
Age : 29
Race : Humain
Faction / Emploi : Mercenaire d'Uraya / Chef des "Crocs de cuivre"
Merodas Lyonsbane
Merodas Lyonsbane
Mer 5 Sep - 10:32

Merodas Lyonsbane









Statistiques


Agilité
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Force
✦✦✦✦✦✦✦✧✧✧
Maitrise
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Constitution
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Compatibilité
✦✦✦✧✧

« L'assassinat est un art, messire. Et je suis le meilleur artiste des environs. »

✧ Nom et Prénom : Merodas Lyonsbane
✦ Surnom : Alpha
✧ Âge : 32 ans
✦ Race : Humain
✦ Faction : Mercenaire d'Uraya
✧ Rang/rôle : Chef des "Crocs de cuivre", groupe mercenaire de Gilramore
✦ Arme : Épée
✦ Compétences / Pouvoir unique :
Survie
Suite à ses sorties nocturnes puis son exil du village, le jeune Merodas a appris à survivre à la dure. //Insert part about combat training and dangerous missions for the mercenaries// Que ce soit la chasse, la pêche, faire un feu ou gagner un combat à vingt contre un, il n'est jamais pris au dépourvu quelle que soit la situation précaire dans laquelle il se trouve.

L'art de la guerre
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Caractère

Étant jeune, Merodas était assez naïf. Il ne connaissait pas le mensonge et croyait donc tout ce qu'on lui disait sans se poser de questions. Au fil des années et de son apprentissage de l'art de la guerre, il réalisa que tout n'était pas aussi simple qu'il le croyait. Les regards de haine qu'il sentait dans son dos au village n'étaient peut-être pas le fruit de son imagination. Les sourires que tout le monde portait n'étaient probablement pas tous sincères.

La fameuse nuit de la trahison de son père fut la révélation dont il avait besoin. Les gens qu'il croyait connaître depuis toujours le bannirent sans aucun remords. Ils portaient tous des masques afin de cacher leur vrai visage, ne montrant celui-ci qu'à leurs proches. Il ne pouvait pas leurs en vouloir, son père leur avait tous menti... même à sa propre famille.

À partir de ce jour, Merodas se jura de ne plus faire à confiance à personne d'autre que lui-même. Les autres n'étaient que des obstacles à sa survie, des variables instables qu'il ne pouvait pas risquer d'impliquer dans ses plans. Il pouvait très bien survivre seul et c'est ce qu'il fit pendant quatre longues années.

Durant sa période d'adaptation à ce nouveau mode de vie, il comprit que rien n'était gratuit en ce monde. Il était impossible de simplement vivre. La liberté et le bonheur avaient un prix et s'il voulait vivre en paix, il allait devoir se battre. Celui qui ne se bat pas se fait piétiner par les autres. Merodas ne se ferait pas piétiner, il était un survivant.

//To be continued

Histoire

Merodas est le fils unique d'une famille tranquille de Gilramore, un petit village d'Uraya. Comptant tout au plus cinq cent habitants, l'endroit se situe au cœur d'une forêt et abrite le quartier général des "Crocs de cuivre". Bien que le village ait son propre corps de garde, c'est ce groupe de mercenaire qui les défend des plus grandes menaces des alentours. Gilramoreétant assez reculé, des groupes de bandits y passent souvent pour se ravitailler. Heureusement pour les habitants, ils y font rarement du grabuge dû à la présence des quelques lames rares des Crocs.

C'était donc là que son père, Fraold Lyonsbane, avait décidé de s'installer afin de fonder une famille. Quelques années plus tard, naissait Merodas, petit bambin plein d'entrain qui allait changer sa vie. L'enfant était aventureux comme son père l'avait été jadis, échappant sans arrêt à la surveillance de sa mère pour aller explorer le village et ses environs. Fraold avait rejoint la garde afin de subvenir à leurs besoins et n'était donc pas très présent. Sa femme étant inquiète des escapades de leur fils, elle l'obligea à lui apprendre à se défendre. Chaque jour, il s'entraînait avec lui dès son retour à la maison, et ce, jusqu'à la tombée de la nuit. Le jour, sa mère lui apprit à lire avec les seuls livres qu'ils possédaient : des traités de stratégie que son mari avait récolté durant les voyages de sa jeunesse. Le jeune Merodas appris donc des plus grands et plus il vieillissait, plus il prenait le dessus sur son père.

À l'âge de 16 ans, il savait survivre seul en forêt et traquer subtilement sa cible durant des jours grâce à ses sorties nocturnes en forêt. L'entraînement de Fraold avait augmenté sa masse musculaire et il avait grandi jusqu'à n'être qu'une tête plus petit que lui. Il avait appris à manier différentes armes courantes avec plus ou moins d'efficacité, mais il était particulièrement doué à l'épée, arrivant presque à battre son père en combat singulier. Grâce aux bons soins de sa mère, il savait lire, écrire et connaissait même par cœur tous les livres qu'ils possédaient. Malgré tout cela, sa vie était loin d'être parfaite.

Merodas n'arrivait pas à se faire d'amis. Qu'ils soient de son âge ou non, dès qu'il engageait la conversation avec les autres habitants du village, on l'ignorait en lui lançant des regards sombres. Un soir où son père était rentré plus tard qu'à son habitude, probablement suite à une soirée de beuverie à la taverne vu l'odeur, il avait surpris une conversation sérieuse entre ses deux parents.

- "Agatha ne veut plus me vendre de légumes, apparemment son mari lui a dit de couper tout contact avec nous. Y a aussi le boucher qui me lance des regards de mort comme si c'était moi qui avais envoyé son fils au cachot. Qu'est-ce que t'as encore fait Fraold!?"

- "C'est pas d'tes oignons compris!? JE fais ce que j'ai à faire. C'est la faute de son enfoiré de fils... s'il était resté en dehors de tout ça, PERSONNE aurait capté que c'est moi qui laisse entrer la contrebande !"

En effet, depuis leur arrivée au village, de la marchandise de contrebande semblait entrer comme dans un moulin à Gilramore. Cela affectait négativement la vente de produits locaux et un climat de discorde avait pris place alors que tous et chacun tentaient de trouver le coupable.

- "C'était sa parole contre la mienne. En espérant qu'il en dise pas trop sous la torture. Boarf, j'aurai qu'à tout nier, de toute façon, le maire et ses conseillers sont dans le coup."

Merodas ne resta pas plus longtemps à les écouter, il n'arrivait pas à y croire et devait se changer les idées. Il s'échappa comme à son habitude et parti dans la forêt. Pendant son absence, un groupe d'inconnus entra dans le village, demandant où trouver Fraold. On leur montra le chemin de sa maison sans trop poser de questions, après tout, la plupart des habitants étaient au courant de ce qu'il manigançait et lui vouait donc une haine profonde.
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Le jeune homme courait à vive allure à travers les arbres, s'éloignant de plus en plus du village. Les larmes coulaient à flots sur son visage alors que l'image qu'il avait de son père éclatait en mille miettes. Il l'admirait depuis toujours et rêvait d'un jour être un homme aussi bon que lui. Mais tout ça n'était qu'un tissu de mensonges... cette famille n'était probablement pour lui qu'une façade pour passer inaperçu. Une tactique simple, mais efficace...
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Arrivés à la demeure Lyonsbane, les inconnus défoncèrent la porte à coup de pied sans prévenir, entrant l'arme à la main. Fraold était debout, les poings ensanglantés. Sa femme gisait au sol, visiblement inconsciente suite à un échange de coups. L'homme arborait une coupure vive au niveau du torse, probablement infligé par sa femme avec un couteau de cuisine quelconque. Il tourna le regard vers les nouveaux arrivants et sembla les reconnaître.

- "Qu'est-ce que vous foutez ici!? C'est trop risqué, si on nous voit ensemble je pourrai plus nier les accusations.."

Celui qui semblait être le chef du groupe prit la parole.

- "T'en fait pas, ton rôle ici est terminé."

- "Tu veux dire quoi là..." répondit-il en reculant d'un pas.
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Essuyant ses larmes, Merodas rebroussa chemin vers le village. Si tout ça était vrai, il devait sortir sa mère de cette situation. Elle méritait mieux qu'un charlatan manipulateur. Ce ne serait pas facile, il devrait probablement réussir à vaincre son père. Chose qu'il n'avait jamais réussie auparavant. Arrivé devant leur maison, il remarqua que la porte était grande ouverte. Il prit donc une des épées d'entraînement à l'extérieur avant d'entrer. Trois hommes qu'il n'avait jamais vus au village conversaient avec son père. Cela n'augurait rien de bon.

- "Le chef prépare un gros coup, on a besoin de tes talents là-bas. On a pour ordre d'effacer toute trace de ta présence ici puis de rejoindre les autres à Fonsa Myma." dit-il en pointant la femme du doigt."

Merodas ne pu s'empêcher de laisser s'échapper un cri d'étonnement, les alertant de sa présence. En quelques secondes une lame touchait sa gorge, annihilant toute tentative de résistance de sa part.

- "Tu nous as jamais dit que t'avais un fils vieux rascal ! Il a la même gueule de perdant que toi! WHA HA ! HA !"

Fraold croisa le regard de son fils pour un instant et il comprit aussitôt à ses yeux empli de haine qu'il avait entendu la conversation avec sa mère. Cela n'avait plus aucune importance à présent. Il était trop tard pour essayer de lui expliquer.

- "Parce que tout comme sa mère, il n'est rien pour moi, seulement une couverture pour passer inaperçu au village."

L'homme approcha la lame plus près de son cou.

- "Oh vraiment ? Bah, dans ce cas, on peut les buter tout les deux!" répondit-il en lacérant légèrement l'enfant.

- "Attend," dit-il en stoppant son bras "je vais le faire moi-même si ça peut te rassurer."

Il dégaina alors sa dague et s'agenouilla près de sa femme. Aucune larme ne coula sur sa joue alors qu'il tranchait sa gorge. Son collègue relâcha Merodas qui tomba à genoux, le regard vide. Toute sa vie se détruisait devant ses yeux sans qu'il ne puisse rien y faire. Son père le prit une dernière fois dans ses bras, lui chuchotant à l'oreille un seul mot, mot qui allait dicter sa vie jusqu'à ce jour :

- "Survis."

La dague de Fraold lui transperça le flanc, amenant avec elle une vague de douleur intense dans tout son corps. Il s'effondra face contre terre près de sa mère, tentant tant bien que mal de rester éveiller. La blessure n'était pas mortelle, mais il perdait beaucoup de sang. Ses dernières forces quittèrent rapidement son corps tout comme son père quittait le village sans un regard en arrière.
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Les gardes le trouvèrent encore en vie quelques heures plus tard et on pansa ses blessures. Il était malheureusement trop tard pour sa pauvre mère. On accusa son père d'haute trahison et sa tête fut mise à prix. Dès qu'il fut rétabli, on l'exila du village sous prétexte qu'il finirait comme son père et qu'il n'y avait pas de places pour les meurtriers à Gilramore. N'ayant nul part où aller, il partit dans la forêt comme il savait si bien le faire. Les jours passèrent, les semaines, les mois, puis les années...
_______________________

Vivre en ermite n'était pas de tout repos, mais Merodas n'avait pas peur des défis. Au fil des années, il peaufina ses techniques de chasse et sa masse musculaire continua de grandir, principalement due au labeur de bûcheron pour la construction de son logis. Quatre longues années passèrent, sans qu'il ne croise qui que ce soit. Il vivait seul dans son monde sauvage, à la fois roi et sujet, juge et bourreau... Il aiguisa ses sens à force de méditations, ne faisant qu'un avec la forêt.

Par une nuit de pleine lune, alors qu'il observait les étoiles, une pluie torrentielle s'abattit sur la forêt. Normalement, c'était signe d'aller se mettre à l'abri, mais Merodas adorait marcher dans la forêt dans ces conditions. Le son de la pluie et la sensation des goûtes tombant sur sa peau l'apaisait. Alors qu'il marchait paisiblement entre les arbres, un cri strident se fit entendre. Provenant de la direction approximative de la route la plus proche, la voie aigu semblait être celle d'une enfant. Comment s'était-elle retrouvé ici, au beau milieu de nul part, à des lieux du village le plus proche ? C'était sans importance, Merodas n'avait aucune raison de s'en mêler. Malgré cela, il ne put s'empêcher d'accélérer le pas et d'approcher de la route. Même s'il essayait de se convaincre qu'il ne voulait pas interagir avec qui que ce soit, il ne pouvait pas s'abaisser à abandonner une enfant en détresse en pleine nuit.

Arrivé sur les lieux, un regard rapide sur les environs lui donna une bonne idée de la situation : une caravane marchande avait été attaqué par des bandits et ses occupants tués. Ils n'avaient pas tué la jeune enfant, mais l'avaient abandonnée seule à la merci des créatures de la forêt. Attiré par l'odeur du sang et les pleurs de la fillette, une meute de volffs entourait la pauvre enfant qui tentait de se défendre avec une torche. Elle essayait tant bien que mal de repousser ses assaillants, tenant la torche à bout de bras, mais elle ne tarderait pas à s'épuiser. En voyant la gamine tout faire pour rester en vie malgré sa faiblesse, Merodas comprit une chose qui lui avait échappé il y a quatre ans : il faut se battre pour vivre et être heureux, mais certains ne sont pas assez fort pour le faire. C'est le devoir des gens forts de se battre pour que les faibles aussi puissent vivre en paix. C'est avec cette pensée en tête qu'il chargea, se frayant un chemin vers elle à travers les volffs.

Sa carrure et la vitesse à laquelle il avait tué plusieurs d'entre eux furent suffisantes pour que le reste de la meute recule de quelques pas. Il prit la torche des mains de l'enfant et s'accroupit pour la réconforter.

- "N'aie pas peur, t'es en sécurité maintenant."

Les bêtes profitèrent de son inattention pour l'attaquer dans son angle mort, exactement comme Merodas l'avait prévu. Il se retourna, pourfendant les deux plus proches en plein vol d'une main et brandissant la torche de l'autre, stoppant instantanément leur assaut. L'homme de la forêt était décidément trop fort pour eux, mieux valait battre en retraite et espérer ne pas recroiser sa route.

//To be continued


Particularités

✦ Il a plusieurs cicatrices de lacérations dû aux attaques de volffs lors de ses années en forêt.
✧ Ici vous mettez des précisions ou des particularités sur vos personnages.
✦ Vous avez manqué un truc que vous ne pouviez pas dire dans le caractère ou dans l'histoire?
✧ Vous avez une cicatrice étrange qui se vaut d'être notée?
✦ Vous avez une passion pour le chocolat?
✧ C'est ici que ça va !

Derrière l'écran
Mortarus sur le discord, au plaisir de vous y parler!
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